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Avec plus de 80% de l’IFT moyen en viticulture, l'oïdium et le mildiou sont les deux principales maladies du vignoble. Tout comme le phylloxera vaincu par la génétique de vignes américaines, le choix du matériel végétal reste encore un levier fondamental pour protéger le vignoble des maladies. L’introduction de variétés tolérantes à l’oïdium et au mildiou dans les systèmes de cultures viticoles représente une des solutions de choix pour réduire l’usage des spécialités phytosanitaires. Limitant le nombre d’interventions à la parcelle, implanter des variétés tolérantes contribue à diminuer les coûts de production et s’inscrit aussi dans une meilleure gestion du bilan carbone de l’exploitation.
Les variétés tolérantes aux maladies cryptogamiques représentent une avancée significative dans le domaine de l'agriculture durable. Ces variétés, développées grâce à des techniques de sélection génétique avancées, sont capables de résister aux attaques des champignons pathogènes sans nécessiter l'utilisation excessive de fongicides. Cette tolérance accrue permet non seulement de réduire l'impact environnemental des cultures, mais aussi de garantir des rendements plus stables et de meilleure qualité. En intégrant ces variétés dans les systèmes de production agricole, les agriculteurs peuvent mieux gérer les risques liés aux maladies cryptogamiques, tout en contribuant à une agriculture plus respectueuse de l'environnement et plus économique.
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